Récapitulatif : la Namibie

Voici enfin un récapitulatif précis de ce que nous avons fait durant notre deuxième étape africaine : la Namibie

Le drapeau namibien

namibia-flag

Nous nous sommes arrêtés dans les villes et hébergements suivants :

  • 11 septembre 2016 : River chalet (camping), Mariental
  • 12 septembre 2016 : Sessriem (Camping), Sessriem (279 kms)
  • 13 septembre 2016 : Sessrien (camping), Sessriem
  • 14 septembre 2016 : Dolphin Beach (airB&B), Walvis Bay (315 kms)
  • 15 septembre 2016 : Dolphin Beach (airB&B), Walvis Bay
  • 16 septembre 2016 : Camping de Spitzkoppe (camping), Spitzkoppe (200 kms)
  • 17 septembre 2016 : White Lady Lodge (camping), Brandberg (160 kms)
  • 18 septembre 2016 : White Lady Lodge (camping), Brandberg
  • 19 septembre 2016 : Camping Abu Uhab (camping), Twyelfontein (100 kms)
  • 20 septembre 2016 : Hoada campsite (camping), Palmwag (100 kms)
  • 21 septembre 2016 : Hoada campsite (camping), Palmwag
  • 22 septembre 2016 : Cheeta Farm (camping), Ojitotonge (100 kms)
  • 23 septembre 2016 : Okaukuejo campsite (camping), Etosha (200 kms)
  • 24 septembre 2016 : Halali campsite (camping), Etosha (70 kms)
  • 25 septembre 2016 : Namutoni campsite (camping), Etosha (70 kms)
  • 26 septembre 2016 : Roy’s Rest camp (bungalows), Grootfontein (175 kms)
  • 27 septembre 2016 : N’kwasi Lodge (camping), Rundu (260 kms)
  • 28 septembre 2016 : N’Guepi (camping), Poppa falls (206 kms)
  • 29 septembre 2016 : N’Guepi (camping), Poppa falls
  • 30 septembre 2016 : Kwando camp (camping), Kwando (222 kms)

Et sur une carte, cela donne ça :

Cet itinéraire a été exécuté à l’aide du site Le planificateur de voyages

Nous avons roulé environ 3000 km (pas de relevé précis) en 21 jours sur des routes qui bien souvent étaient des “gravel roads”, c’est à dire des route en gravier non asphaltées. Elles sont en général en (très) bon état et permettent de rouler jusqu’à 120 km/h (limitations officielles…). Les routes principales qui relient les grandes villes du pays sont asphaltées. En Namibie, les supermarchés se font rares et il faut planifier les courses en fonction des arrêts et des prochaines grandes villes croisées. Si on trouve de tout dans les grandes villes du pays (Windhoek, Luderiz et Swakopmund), les achats qui sortent de l’alimentation ordinaire sont quasiment impossibles dans les petits villages. Le pays, l’un des moins peuplé du monde par rapport à sa superficie, nous a offert les plus longues routes totalement droites, sans croiser personne pendant des heures…. Les habitants y parlent anglais, plus en général l’un des dialecte du pays.

Le climat s’étant réchauffé et comme nous nous sommes équipés de couvertures chauffantes, nous avons pu camper la plupart du temps sans problèmes, dans des cadres toujours magnifiques ! Le pays, s’il est avare en animaux sauvages hormis à Etosha, offre les paysages parmi les plus incroyables qu’il nous ait été donné de voir ! Le bleu du ciel, le rouge des dunes, le blanc des plaines, le jaune des sables, tout se combine pour vous en mettre plein la vue !

Contrairement à l’Afrique du Sud, il faut parfois payer cash son essence. Le retrait d’argent est aisé dans les nombreux ATM que l’on trouve quasiment partout.

Petit récapitulatif de ce qu’on a aimé et de ce qu’on a moins aimé dans lors de la visite de ce pays :

On a aimé

  • Le parc d’Etosha
  • Faire du quad
  • Les magnifiques paysages (Sossüsvlei, Spitzkoppe pour les parents)
  • Rencontrer les copains californiens
  • Les éléphants du désert
  • La visite de l’école primaire à Rundu
  • Les gravures préhistoriques à Twyfelfontein
  • Les journées passées à squatter dans des lodges de luxe (Twyfelfontein Country Lodge et Grootberg Lodge)
  • Le super bon apple pie mangé à Solitaire

On n’a pas aimé

  • Les grandes distances à rouler sur des pistes
  • La planification nécessaire pour faire les courses au bon endroit et ne plus voir un supermarché pendant des jours
  • Un dîner immonde servi à Kamanjab (hamburgers froids et frites cuites au micro-ondes)
  • Quand Etienne, Arno, Louis et Mathilde ont été malades (4 tourista en camping, c’est une gestion digne de Koh Lanta…)

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