Brandberg White Lady Lodge : panneaux étonnants, chauffe-eau malin et charge corner

Autre site visité, le Brandberg. En tant que bons suisses, vivant au milieu du Valais, c’est le passage obligé, parce que c’est le massif dans lequel on trouve le plus haut sommet de la Namibie (le Königstein, 2573m tout de même…).

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On s’y est arrêtés pour camper durant 2 jours, ou plutôt 2 nuits.

En arrivant, les panneaux donnent le ton :

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On est en effet en plein territoire des éléphants du désert. Ce sont des éléphants qui ressemblent aux autres, mais qui ont su s’adapter au milieu spécifique du désert namibien, et qui sont capables de tenir plusieurs jours sans boire en cas de manque d’eau, alors que les éléphants “normaux” doivent boire plusieurs centaines de litres par jour. On ne fera pour notre part qu’une seule rencontre avec un très grand éléphant qui étant en train de casser un arbre avec sa trompe pour en manger l’écorce (impressionnant les craquements du bois et la force de l’éléphant !!), mais Dex, Kylie, Meg et Dean, qui avaient passé une nuit là juste la nuit d’avant en ont compté jusqu’à 12 en même temps devant eux… On ne sait pas si on aurait aimé en avoir autant devant notre tente 🙂 !

Dans ce camping, chaque emplacement est équipé d’un plan de travail pour cuisiner (en béton), d’un emplacement pour le feu et d’un robinet. namibie-615-large

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Les douches sont comme quasiment toujours partagées, mais ce qu’on voyait pour la première fois c’est le système de chauffe eau :l’eau chaude pour la douche, ici, on se la fait au feu de bois ! Enfin, on se la fait, les gens su camping passent régulièrement entretenir le feu, et nous avant de passer à la flotte on ajoute une bûche pour assurer vraiment le coup !

Devant le bloc des douches on trouve un foyer… 

On y allume le feu… 

On attend quelques minutes (ou un peu plus)

Et on est parés pour une douche à moitié en plein air (il n’y a que les murs) chaude ! Extra comme combine ! 

 

Donc on a de l’eau, mais pas d’électricité… Alors voilà le résultat :

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on en a ri toute la soirée (mais surtout on l’a utilisé !)

Le lendemain on a profité une nouvelle fois de la piscine et des petits bouts d’herbe, rares et bienvenus ici  !namibie-598-large

 

Finalement, le lendemain en filant on a décidé de suivre le GPS plutôt que notre bon sens. Les routes en Namibie se résument à des pistes en gravier, en général assez bien entretenues, mais qui réservent leur lot de surprises, de parties en “tôle ondulée” et de nids de poule. On pensait rouler sur une de ces gravel road pour continuer notre remontée au nord, mais le GPS nous indiquait une autre route. On l’a suivi et là on s’est retrouvés pendant près de 80 kms sur une route de deep sand (sable profond, mou), avec notre 4×4 engagé, et à devoir rouler en 1ère ou 2ème durant près de 2 heures… A certains moments, le GPS indiquait même “off-road”…On a détesté, et on s’est dit que dorénavant on allait mieux contrôler l’itinéraire avant de faire aveuglément confiance au GPS  namibie-large-974

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Mais on est arrivés ensuite sans encombres sur la grande piste en gravier, au bout de deux heures, pour terminer notre route bien plus rapidement.

 

 

(6 commentaires)

  1. Profitez un max de cette région, elle est spectaculaire.

    C’est une grande chance de pouvoir apercevoir des éléphants du désert !!!

    Si vous avez la possibilité de dormir au Spitzkoppe un peu plus bas au sud c’est aussi magique.

    Merci pour tout, vous nous faites raviver de somptueux souvenirs.

    Bonne continuation à vous tous !

  2. Alors bon, déjà que par ici, le GPS, ça nous envoie dans parfois dans des endroits bizarres, j’ose pas imaginer en Afrique

    1. En général c’est fiable et nickel… Juste là il devait imaginer qu’on pouvait rouler à 80 sur cette piste !

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